LE POIDS IDENTITAIRE EN RELATIONS INTERNATIONALES
DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
Entre (). Prévision ou conséquence, prince Justin Trudeau est le seul et vrai responsable de la nouvelle guérilla américaine lancée contre le produit canadien. Fermons les ().
Si l’on voit un grigri sur votre table, sur celle du PM canadien, sur celle du président haïtien. Quelle différente perception, honnêtement ! Tel que l’on se voit, tel l’on nous voit, le fétiche de l’objet, la peur chez le détenteur aussi. Point n’est donc besoin de définir les zones grises de la diplomatie dans les relations internationales, les standards sont différents. Mais, dans la danse chapelet contre grigri, l’argent est roi. Bienvenue Michaëlle Jean, la francophonie est bien ce champ expérimental parisien de diplomatie, fait d’argent d’envers et de revers. Il est amusant d’observer la même Michaëlle Jean journaliste qui interviewait l’ancien ministre de Duvalier, Jean-Marie Chanoine en l’occurrence (grand ami de lulu Bouchard, dixit un ancien péquiste démobilisé par la vertu de sa femme haut fonctionnaire fédéral), devenue GG du Canada, à Carlton puis à l’OIF. Raisonner comme le haut fonctionnaire politicien qui justifie toute dépense. Jean-Marie C, de son état malade dit-on, doit bien en rire aujourd’hui.
Michaëlle Jean placée à la tête de la Francophonie Internationale est d’une façon détournée, un spectre diplomatique canadien d’abord, quand tout va bien dira le sceptique afro-centrique. Tout nuage, toute nuance, elle sera une déclaration ex cathedra, sans sourdine. Drainville-Nadeau-dits de souche l’accusent aujourd’hui, c’est systémique. Elle devient toupie. Sa simbie référente (armoiries personnelles) sera bientôt à l’image de Jovenel Moïse président aussi. En outre, est aussi systémique la sainte colère de Michaëlle qui explique peut-être mais ne digère les (mêmes) critiques du journaliste, baveux je l’admets, de la SRC. Il n’a pourtant crié gare autrefois, sur le même sujet. Misogyne, qui sait ! Projection et perception se bousculent.
Bien fait pour elle, non. En outre, elle l’a cherché oui. Sachons que lors de sa prise en charge à titre de GG du Canada, elle n’a trouvé à sa taille de Négresse, c’est à ce titre que ce baveux l’a jugée, qu’une plume blanche à la hauteur de son expression de simbie. Pas un Noir, sauf elle, ne pouvait à cette dimension. Ah, effet boomerang ? Si l’hypocrite a joué au censeur, non sans raison, mais il ne fallait pas. Pourquoi alors ?
Dans la même foulée puisque c’est un monsieur qui s’identifie personnellement aux relations internationales. Le maire de Montréal a flairé le scandale à sa porte, un pas en avant, il dit gérer à titre de père. Soit sur le pas de l’éducation reçue soit autrement, son fils étant mêlé d’après les propres déclarations du concerné, dans des affaires de fraudes (cartes de crédit). Le citoyen en cause est d’âge majeur. Dossier d’accompagnement, attention mais de Port-au-Prince, désolé de Montréal. Identitaire, ce n’est la norme. Autoritaire, il devient criminologue médecin psychiatre, et transforme le mal en déclarations. « Cyberdépendance ». Non, les faits exposés s’appellent cyber crime d’après les cas du même genre. Les déclarations de « joual verts » n’y sont de la part du même journaliste qui ne crie gare ni ne déclare la guerre à la réputation, ni à l’immixtion du maire, ou à sa nouvelle spécialité. La notion identitaire le lui défendrait car, derrière un verre de bière au match de hockey ça se règlerait par une blague de pots, dans cette identité. Ce n’est drôle, B Obama l’a fait à même la pelouse de la WH, à DC.
Je conçois la connexion libérale des années commandites une tare de clan mal soignée. Réal conservatisme politique des années d’amitié-à-Reagan était en outre d’une pathologie dont on ne sait encore diagnostiquer par le fait de la ruse qui avait mise en marche une contre-attaque judiciaire pour détourner l’attention. La province, n’en parlons pas, le déficit en paiera le coût. Si l’on considère donc la globalité canadienne dans le domaine de la connivence, de la corruption et de la collusion, ça pue comme un exéma plongé dans un Saint-Paulin retracable à la mouche dans une valise diplomatique. Mais plus hypocrite que cela, on en meurt sous perfusion, comme à la ville de Montréal dans une affaire de compteur d’eau où celle-ci relie les deux rives pour faire libérer la mer… dans le maire en cause et pour cause, libéré. Allez donc porter plainte vous seriez arrêtés vous-même, jugé à la sauce de juges politiciens qui par défaut de délai judiciaire, se disent obligés de libérer le criminel notoire accusé. En fait, exéma ou Saint-po, puanteur ne tue elle se partage en relations internationales. Il vous reste donc les UN mais peine perdue, donc l’OIF, par effet de causalité de l’UNESCO, subsidiaire de la matrice, ne saurait s’en échapper de cette école conservatrice, libérale, canadienne, aujourd’hui de francophonie. Gageons : cette nature se fait leçon d’vertu à Haïti. Je ne plaide mais j’observe. JMC a le temps de faire, paix en conscience, car l’ambassadeur canadien de son époque et de celle d’après, possédait-il à Bourdon en Haïti avec Jo Namphy, pour un diplomate accrédité ? Cette culture est-elle la même que celle que l’on a vu se dérouler à la Commission Charbonneau, au Québec tandis que le système protège le concerné ?
Pourquoi s’en approprier rapidement de l’étude des risques ?
Photo de campagne et Président de la République d’Haïti. Jovenel Moïse avec le condamné de fait, pour trafic de drogue illicite associé, aux U.S., en l’occurrence Guy Philippe. GP plaida coupable et, est reconnu idem, avec peine de (108) mois d’incarcération pour implication volontaire à titre d’officier de haut rang de la PNH, dans le trafic criminel de drogue. Cela ne peut se prendre à la légère à la commission sur les Affaires étrangères (Sénat/Parlement). Le président est obligé, il se doit en explication par devant le peuple. Par devant le Parlement dont les (2) Chambres conjointes et séparées, ce par la loi même sur le blanchiment d’argent d’origine criminelle, de la drogue. Tout silence est imputable aux institutions et juxtaposé en condamnation. Nous parlions de Saint-Paulin, le ministre de la Justice, Heidi Fortuné ne peut feindre l’ignorant de son côté non plus, lui qui fulminait dans le temps contre la corruption, le crime organisé et les criminels dans les gouvernements antérieurs. D’ailleurs, va-t-il procéder contre Guy Philippe puisque l’action se passe aussi en Haïti, comme sur la motion suivante : Kétant est-il poursuivi pour cause en Haïti ? C’est une porte béante pour la coercition, car la coopération externe ne nous est ouverte, là. Le communiqué du 24/04/2017 du Department of Justice U.S. Attorney’s Office Southern District of Florida stipule, évoquant le BLTS et IRS-CI dans le cadre de l’OCDETF : « It is important that Philippe accepted responsibility for his criminal offenses against the United States and the people of Haiti for his involvement in criminal activities associated with drug trafficking,” said Adolphus P. Wright, Special Agent in Charge of the DEA Miami Field Division ». Historicité et historicisme.
U.S. District Court – Southern District of Florida (Ft Lauderdale) – Criminal Docket for Case #: 0:97-cr-06007-FAM All Defendants Date filed: 01-15-97. Beaudouin Ketant – DOB : 4/10/63; PRISONER #:63255-004; 02/27/2004, also known as Jacques Ketant also known as Jack Ketant also known as Jacques Beaubrun also known as Jacques Aurelus also known as Jacques Beaudouin also known as Palmiste 2. Résultat : lourde sentence d’emprisonnement pour (2) chefs d’accusation sur (22). Sont cités dans le dossier : Fernando Burgos-Martinez, Joseph Michael Francois also known as Michel also known as Tennis also known as Mapuoou also known as Mapou, Menard Saul also known as Guyguy also known as The Blanc, Marc Valme also known as Palmis also known as Palmiste, Fritz Lafontante also known as Guy, Pierrot Joseph Beauvais also known as Peter also known as Pierrot Bauvais also known as Beavais Joseph also known as Andre Beauvais also known as Joseph Beauvais also known as Beauvais Joseph, Guy Plantin also known as Kenneth Bruce also known as Kadafi, Derrick Vaughn Maddox also known as Doctor, The, Jean Toussaint also known as Shorty also known as Fito, Frantz Cadet DOB: ‘ 59 PRISONER #78907-004 also known as Zopope, Reginald Molin also known as Reggie, Evens A. Gourgue also known as Chief, The also known as Chief Evens, Wilner Noel, Luckner Guillaume also known as Lucky, Joel G. Audain also known as New Chief,. Plaintiff : USA.
Identitaire : ce ne sont les sobriquets mais nos marques de commerce qui nous condamnent.
United States District Court Southern District Southern of Florida – CASE No. 05- 20874-CR-ALTONAGA, dans son Plea Agreement : « The defendant also agrees to fully cooperate […], involving the forfeiture to the United States […] of their nature or form, in all assets, including real and personal property, cash and other monetary instruments, wherever located, which the defendant or others to the defendant’s knowledge have accumulated as a result of illegal activities or which represent substitute assets to satisfy the money judgment ». Case 1:05-cr-20874-CMA Document 63 Entered on FLSD Docket 04/24/2017 Page 4 of 7.
Qui et où sont-ils ? Car, dans la note de presse du 24/04/2017 du Department of Justice U.S. Attorney’s Office Southern District of Florida, il est écrit : « It is important that Philippe accepted responsibility for his criminal offenses against the United States and the people of Haiti for his involvement in criminal activities associated with drug trafficking,” said Adolphus P. Wright, Special Agent in Charge of the DEA Miami Field Division ». D’où, inquiétude haïtienne, le Ministre de la Justice, Fortuné est obligé par le 21-juin : « Philippe also admitted that he shared a portion of these payments with Haitian National Police officials and other security personnel to ensure their continued support for future drug shipments arriving into Haiti ». Doit-on attendre tonton avant de procéder aussi et de saisir ?
Si les faits remontent ici entre 1999 et 2003, dans le document Factual Proffer contresigné le 24/04/2017 par Guy Philippe, ce qui signifierait qu’un narcotrafiquant aurait renversé le président JBD, en 2004, en collusion avec ceux qui s’y sont associés, était-ce en collusion avec Paris tandis qu’Haïti coopérait dans le dossier de la lutte contre les narcotrafiquants, ou, était-ce là une guerre de gangs, puisque Ketant est ce dossier du 02/27/2004 ? Miami ne mentionne Paris mais les notes diplomatiques ne sauraient l’ignorer en rapprochement.
Agréons, je ne suis-ici dans une forme de Jean-Conzé judiciaire où je dois y fournir les preuves. Je cite-là le cas réglé du Ministère la Justice U.S. qui à mon avis, procédure fort a priori, a dû être transmis par l’Office of the Legal Adviser du Département d’État, à la Vice-présidence, avant que Mike Pence ait pu rencontrer officiellement le président Jovenel Moïse en Floride. Voici en exemple un extrait de la note de presse du 21/06/2017, qui a suivi la condamnation de Guy Philippe ce voisin de Broward County : « The […] Criminal Division’s Office of International Affairs, Bureau of Diplomatic Security, DEA Port-au-Prince Country Office, Federal Bureau of Investigation, Immigration and Customs Enforcement, […], and the U.S. ». Un véritable profil identitaire rapproché, à sens unique. Ainsi, la première pensée coercitive ouverte de Jovenel Moise est l’étranger dans les eaux territoriales haïtiennes. Plus de Philippe-Ketan au phare de Key West ? Non pas l’espace sous-marin pour des recherches scientifiques de protection, régulées avec le ministère haïtien concerné mais, retenir prisonnier en République le citoyen désespéré de Moïse, de l’État ? Dans quel but, qui reçoit et a peur en Floride ? Alors, « prière de ne pas déranger » la plage soit par des cadavres en dérive, soit par des invasions de réfugiés sur l’eau, soit par transport de choléra reçu par la MINUSTAH. Mirage à la source, je me rappelle de Condoleezza Rice [Stanford] : « You can’t govern this place […]. ». Extrapolons, […] savons tout par DEA/P-a-P, […] sommes dans vos eaux. N’est-ce pas à cette image que l’on jugera une faute, avérée ou pas, de Michaëlle Jean ?