CRISIS OF CHARACTERE
DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini
Entre (). Ce n’est mon imagination, le journaliste argentin Juan Gasparini publiait El Pacto Menem-Kirchner pour dénoncer une courroie de transmission de la corruption. La conjoncture n’avait permis le déblaiement d’un véritable scandale. À peine Mauricio Macri en poste à la Casa Rosada, Cristina Kirchner est accusée de « blanchiment d’argent » selon un article de TV5 monde du 10 avril 2016 http://information.tv5monde.com/info/argentine-cristina-kirchner-accusee-de-blanchiment-d-argent-101324. Fermons les ().
Gary J. Byrne dénonce-t-il ou, informe-t-il sur le vrai caractère de la candidate Hillary Clinton, quand Bill aura choisi de se taire sur une question sensible pour son pays ? Soit la sécurité du président (son administration) et du pays. Il cite en P. 69-70, des références du Washington Times (filegate). « Final report of the independent councel (in re Madison Guaranty Savings & Loan Association); in re William David Watkins and in re Hillary Rodham Clinton, U.S. Court of Appeals for the District of Columbia Circuit, Division for the Purpose of Appointing Independent Councels, Division, no. 94-1 (U.S. G.P.O., Supt. Of Docs., 2000), p. 17. ».
Le tout Washington était au courant à propos de Hillary Clinton. Mais, ce tout Washington s’insurge contre Donald Trump Jr., en lui transférant les mauvais crédits des Clinton, pour le même sujet ? « The FBI, the Secret Service and the Internal Revenue Service hounded and then prosecuted seven innocent men who worked for the White House travel office simply because they were standing in the way of Mrs. Clinton’s political interests and ambitions. She knew federal investigations would destroy those good men, but she wanted her friends in those slots, and that was all that mattered ». « One possible reason for Mrs. Clinton’s unusual interest was that she and her husband had much to hide ». Qu’est-ce que cela peut-il cacher ? washingtontimes.com/news/2012/oct/30/hillary-clintons-abominable-national-security-reco?page=all.
Un tout autre intérêt qui offre une coïncidence, nous a fait voir le film J’ai serré la main du diable de Roméo Dallaire qui dit: « Clinton était au courant ». « Noir, le Rwanda n’était pas un pays Blanc » dans son aveu et demande de pardon, au peuple rwandais commémorant le 10ième anniversaire. Coïncidence que l’on retrouve en P.51. / Crisis of character : « They ignored the Rwandan genocide and let the situation in Bosnia-Herzegovina escalate. I guess Somalia seemed more marketable than the others – better for the Clinton brand ».
S’il faut donc considérer cette notion The Clinton brand, ce que l’on retrouve at large à travers les débats sociaux dans le cours des élections en cours de préparation, Byrne ouvre une lucarne sur des considérations siamoises avec le représentant Démocrate, Franck en l’occurrence, sur ce que la clientèle citée croie par rapport à leur réalité aux yeux des Clinton.
P. 62, para 2. « The title of the delegation itself has boldly marked : » « HIV Positive ». Et, incidemment en matière de sécurité sanitaire, Byrne poursuit : « Our Screeners took note of this, and their usual safety precautions immediately increased ». Il entretient la relation directe en P. 63, para 2. : « Representative Franck’s delegation wanted to make waves; ». « They loved being offended ». « With the glove incident they got their chance, the PR opportunity of a lifetime ».
En émettant une opinion personnelle critique, l’on pourrait s’interroger sur le « don’t ask don’t say » d’avant et en conséquence le : ‘’say that and you get on in power against the fundamental right of than hetero’’. Ce que le nouvel ami de Bill croyait passer inaperçu, publié le 17/07/2016 par Atlantico « Accusé de harcèlement sexuel, Sir Elton John perd son procès pour garder l’affaire secrète », la pressclinton tente de camoufler en évitant de publier. file:///K:/Accus%C3%A9%20de%20harc%C3%A8lement%20sexuel,%20Sir%20Elton%20John%20perd%20son%20proc%C3%A8s%20pour%20garder%2.
Considérons les reproches adressés à Hillary par rapport à ses mensonges, à ses négligences administratives volontaires, en référence aux emails aux questions du cas-FBI, plus que jamais voici ce que dit Byrne en P.67/para 2 : « Maggie William, Mrs. Clinton’s always well dressed chief of staff; physically pushed her had no right to block her entrance. « She removed boxes that were never recovered; the were destroyed ». Comportement, revelation !
Byrne nous propose ainsi une mise en situation sur les crises de caractère du sujet, en P.72/para 4 : « She grabbed me by the arm, pretending we were the best friends and that she loved the Secret Service ». Comme Mme Clinton jouait avec la sécurité, comme elle le faisait pour le président, puis pour le Département d’état, et, pour le pays : « extremely careless ».
Mais, ce que considère Byrne, mieux que de la négligence extrême, cette crise de caractère est décrite en P.74 : « She once threw a Bible at an agent on her detail, hitting him in the back of the head ». une relation directe avec le début de l’ouvrage, où la description fait foi d’un incident grave où le Président s’est retrouvé avec un œil au beurre noir que l’on suppose relié à l’événement du vase. Byrne ne se fait pourtant pas avare en appréciation envers Bill Clinton. Sa considération sur les atouts naturels du président en P.88/para 1 : « My father could fix a rock. President Clinton could charm a rock ». « If the president told me my name wasn’t Gary Byrne, I’d have to check my name tag »…. If I had only one way to describe President Clinton, », qu’il semble admirer au fond de lui. Ce qui plus loin en réf., P.96-97 « His vaunted charm and charisma really did break the ice… ». En réalité ce qui n’est dit qu’en sous-entendu serait que la First Lady ne possédait en rien ce caractère mais au contraire, elle compromettait tout en recherchant son avantage politique personnel, même dans le couple.
Il démontre ainsi vers P.100, le désastre autour de la présidence qui est en fait l’élu et le chef d’État à protéger pour la fonction. « Unfortunately, President Clinton, to his detriment, was left to his own devices. His wife was always the business partner, never the supporter. Before the shutdown, President Clinton was a complete opposite of his wife; he was unwaveringly jovial, a true extrovert. But once the shutdown arrived, he found himself surrounded by fair-weather friends or those who for professional reasons had to keep him at arm’s length ». Et, en P.101/para 2 : « without his cheerleaders, President Clinton was alone and looked it ».
C’est en fait lors d’un discours de la candidate Hillary Rodham Clinton qu’un lapsus en apparence va dévoiler la profonde vérité et la désinvolture du personnage de Crisis of character. Hillary parle de sa vision personnelle, dit : « totalement différente de celle de mon époux ». Mais corrige rapidement non sans surprise : de mon adversaire ». Ce qui d’une part dévoile son profond désaccord avec Bill Clinton dans leurs discussions intimes sur la gestion de l’État, d’où, Bill s’endort rapidement en pleine convention aux côtés du candidat à la VP, Kaine, lors du discours d’investiture de sa femme qu’il a pourtant élevé au rang de grand maestro. Et, d’autre part, son inconsistance à confondre son époux à Donald Trump, avec qui elle est vue en photo (admiratrice) lors du mariage de celui-ci, son adversaire, en 2005.
Byrne nous dit en bref, P.130/para 2 : « Monica wasn’t the real problem. The real, the massive, the central problem was Bill Clinton ». Lequel problème que nous avions soulevé plus tôt en considérant l’hypothèse Bill First gentlemen en compagnie de la femme d’un président, d’un chef d’État tout court. Par exemple, la femme d’un PM canadien trop occupé avec ses associations préférées, malgré trop vieille pour ses goûts. Mais, imaginons avec la Chine ou, avec la jeune nouvelle de vlad à Moscou. Et, d’un prince arabe allié, du Golf, ce serait pour cause, une femme lapidée par sa faute !
L’histoire ici n’est qui peut savoir, mais nous savons tous et même à la lueur du récit de Gary Byrne, ce qui va se passer. Un scandale diplomatique grave pour les U.S., une condamnation pour la présidence, une hostilité nuisible pour le pays. Une de plus pour Bill. Puis, la rumeur qui circule sur la nature du froid que lui tient Al Gore après tant d’années en dit long.
Comment conclure Byrne dans les circonstances en cours ? Hillary par la voie de son camp tente d’enterrer définitivement Bill en suggérant l’hypothèse Chelsea CEO à la CGI. Soit en réponse à ce que nous disions avant ces saisons-de-kabbale en Haïti.
D’une part, fini l’influence Bill, non officiel, sans défense à ses côtés. Donc révocable.
Et, d’autre part, tant pis pour la CGI, car elle sait pertinemment que l’Org ne peut carburer avec cette hybride-de-pontage sans intrusion vice versa avec son hypothétique administration, comme pour cette affaire d’emails en examen au Congrès. Tant pis pour Bill aussi.
Nous savons tous, une fois de plus, ce qui se passera pour le vieux Bill, humilié, sans pouvoir, sans influence, dépouillé de sa personnalité, de sa CGI. Le risque avec les premières dames.
Voilà, Hillary insiste tant sur son obsession de candidate effrayée que cela ne peut laisser indifférent. Le Washington Times insiste : « Clinton contradicts FBI again, says no emails were ‘marked classified’ ». Mais, elle suggère que la faute revient à un conseiller : C. Powell.
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