Trump-Iran : Décevoir la Raison ou Soutenir l’Enfer

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • Trump-Iran : Décevoir la Raison ou Soutenir l’Enfer

Entre (). Celui qui le croit, et, seul sur la toute du cinéma, meublant la forme de réalisme merveilleux, sponte editus de l’imaginaire collectif haïtien, par l’envie d’un sensationnalisme d’affaires es cultura, ira de ce sponte sua vaincre l’incertitude haïtienne. Fermons ().

R Hassan a peur de perdre à domicile, mais croit inverser la vapeur par la menace, après son laps syrien. Ça rassure, voyez-vous, je suis raisonnable au point de voir E Macron de moins en moins communiste, il mange du caviar en capitaliste. Non trois fois non, il ne faut pas jouer la carte de l’erreur, car BB a raison. Ce ne sont pas des jupettes qui vont en guerre. Cela vaut mieux maintenant que plus tard, car trop tard sera-ce pour récupérer, le président Donald Trump a toute cette latitude. Il remet le pendule en marche par la voie de la rupture. Un faux drapeau de paix tendu sans valeur n’a de valeur que pour le naïf, laissons BB mener sa guerre.

Trumping the States, devise que j’ai perçue bien avant la prise en charge du président Trump. Donné perdant en campagne électorale face à cette mésintelligence bill-oise mais en réalité hillaryenne; présumé dangereux du fait d’imprévisibilité; jugé par l’analyste menteur encore en poste tant chez le média d’état, chez le ténor de chaire d’études (fanatiques du mensonge, de l’enseignement de l’ignorance). Ce genre crie « miserere » aujourd’hui, mais, tout en menaçant, n’est-ce pas ! Il n’est pas ici question d’une décision prise par B Obama que l’on révoque par le fait d’un remplacement. Le pseudo Perse qu’est Hassan Rohani ne l’a-t-il pas lui-même fait en politique par rapport à Dr Mahmoud Ahmadinejad ? S’il a eu le temps pour mieux faire, il s’est résolu à Damas, qu’à cela ne tienne, il faut fixer le pendulaire. Trump se rassurera, car la Perse antique a fait la guerre autrefois, mais se confond en loge millénaire.

J’ai dit avouer attendre de Donald Trump , la veille, une décision conséquente tout en sachant qu’il est le président en fonction. La décision lui revenait, non pas à ceux qui de l’Europe se plaindrait quand ils ont fait la guerre ailleurs. Le nouveau noviciat vendeur d’armes malgré tout, devrait savoir en outre qu’on ne joue pas avec le menteur qui nous pointe l’arme au front en nous faisant croire que ce sont des tournesols. Que Rohani tombe par sa politique, c’est une affaire iranienne qui le concerne, nous serons alors avisés sur l’alternative, sur sa nature. Réel est le jeu caché qui mijote pourtant dans une marmite percée. Je rassure sur 2013, Israël doit être soutenu afin de résoudre la crise syrienne, car, Vlad n’est cet homme en qui placer la paix, mais le Russe qui menace le global quand la faute revient à son communisme privé. S’il faut rompre alors, rompons, ce n’est pas le p’tit doc Kadir, ex-communiste qui va empocher le $M quand la table est servie par P. Couillard, qui va faire la leçon. À chacun ses intérêts.

Il ne faut répondre aux attentes du perdant, car il a non seulement mis en gage, mais établi sa règle du jeu après avoir décidé de créer un faux jeu, lequel devrait évincer Trump par le mensonge qu’il a soutenu en faisant payer le lecteur, en récoltant la subvention comme moyen de survie. Plus que de l’indécence c’est le fruit d’un communisme viscéral. Ne faut-il pas se rappeler l’accord de Paris du communiste François Hollande aujourd’hui en disgrâce après avoir menti aux Français alors qu’il a été président pour ne rien faire sinon jouer à poupette-en-scooter chez l’actrice aimée en trompant sa compagne d’alors. S’il a mis l’État à risque, les temps ont changé et cette leçon vaudra mieux pour Kim-au-bouton aussi.

Barack Obama a fait son temps. Il avait pris sa décision en suivant le conseil de son entourage immédiat et des experts anonymes. Le président Donald Trump Jr. n’a de morale de la foi à démontrer, que dire d’ordre à recevoir de ce lessivage à mémé pourtant claire. Pire, qui plaide contre l’Amérique. Adieu, Mercidieu !

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