James Comey : Marchand de Vérité Mensongère au Poids du Livre Vendu ?
DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- James Comey : Marchand de Vérité Mensongère au Poids du Livre Vendu ?
Entre (). Gageons : Augusto P encore vivant, il trouverait per fas et nefas la victime non sunt coupable au temps de ce vis comica. Bref, c’est un cauchemar évité. Meringue per jocum, arété miky sin pileum «vin n banm kou». Utile dulci étant une devise horacienne. Fermons ().
Acta est fabula (la pièce est jouée), Comey aurait préféré la présidence de HRC. Carton rouge est le verdict, mais pour qui, car je ne sais défendre Donald Trump sans prébende versée ou salaire proposé à Rudy Guliani. Ce serait un non-sens chez celui qui traite de Butler l’ex-B de la plaza. L’opinion éclairée se forge sur l’observatoire qui sait définir le Trumping en cours le temps de l’avant. Comey n’est pas moins que d’autres sur les tribunes ce béotien marchand de livres qui veut faire fortune avec du tafia vendu en overdose à la victime qui consomme ce gin toxique sans tonic. Tafia, oui car ça soule son histoire, sa boîte à ragots arrangée en truc d’occase démocrate perdu. Même assurance de la trompette Bernie qui s’est crue presidio tandis que l’âne lui épilait l’âme à domicile. Toute vérité étant sur l’axe même de son opposé, soit le mensonge semble, mensonger par la résistance, pour la partie adverse. Comey crée sa propre adversité, ou ne serait que l’admirateur caché maladroit du DT perdant, vendeur de livres pour s’assurer, histoire d’une évidence, le pouvoir exécutif, le vrai. Écarter, éloigner, faire languir tout courtisan, l’espace d’une faveur accordée rapidement reprise. En outre, JC ne possède pas les talents de DT, mais s’est mis le pied dans les mors, allez donc savoir si ce sont les siens ou un sabot de l’âne. Quelle image, cet ex-Boss du FBI, on eut dit Gore/Romney-Ryan, trois gaffeurs réunis en un. L’ex–patron du KGB doit mourir de rire.
Si vous êtes fan de télésérie grosso modo de cinéma, le patron du FBI doit fatalement illustrer ce sommet d’intelligence avec capacité de synthèse au-dessus de la logique de Joe. Oui, car le criminel russe déguisé en agent exogène et vice versa ne pardonne pas, surtout quand il se sait observé. Mieux, l’agence est aussi l’une des plus indépendantes du système américain. Un véritable chien de garde, un garde-fou inflexible. Là où la fausse alerte vaut mieux que la négligence. 9/11 est tellement éloquent en matière de conséquences, de stigmates. Il ne suffit pas de grimper la limousine blindée comme on a tendance à le croire chez lemiso. Il faut être à l’épreuve. Comey ne sait se mettre à l’épreuve il sait se trahir, imaginez un tel chef qui resta encore en poste, taupe-démocrate mal fagotée. J’ai autrefois, pourtant eu de la sympathie pour l’âne. À tout venant, on se la chanta la bienvenue. La raison a pris le dessus, la sécurité doit être garantie même à coups d’erreurs d’appréciation que l’on estimera agressive. Une fois de plus, Moscou ne joue pas quand il perd des plumes ni quand il se sent rattrapé. Le livre de Comey met l’Amérique à risque pour une poignée de dollars. Pour Chappaqua, hélas !
Est-ce que je défends la présidence de Donald Trump, oui. Mais, est-ce que je défends Donald Trump lui-même, non. C’est un principe, il est le chef aux commandes, surtout, à un moment crucial hérité d’un vice caché de Butlerisme éculé. C’est une attitude qui a des conséquences. Le Butler avait toutes les cartes en main pour sévir contre les ennemis de l’Amérique, mais il s’est senti obligé par le syndrome… K Clark. Je ne confonds ici un dossier en particulier avec le principe vital. C’est ici la faculté, la clé de mon appui avéré au Justin s’en va en guerre contre l’ennemi assassin de démocratie à Damas, la semaine dernière. Ce besoin de plaider Israël aussi, au milieu d’une meute en furie, en guerre contre leurs propres frères, achetant des armes de destruction massive pour fin de, avec la richesse commune du pétrole. Ce lâche il ne sait dénoncer ni combattre le marlou agresseur demi-sel, s’il peut en cacher le fruit commis.
DT n’est brillamment pas la fausse modestie de l’eucharistie en vrac, aussi dira-t-on qu’il a su contourner la conjoncture Wikileaks. JC commis en outre en Hillary took office, n’a pourtant pas livré de « capi mafia » en carrière, pourquoi s’il en a vu l’usage. Adieu Fausta vaincu !