Sans Plateau Caracas Piétonne Mieux Que Mont-Royal

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ Par Dan Albertini  

Entre (). Barranquilla pan y circo la gran bodega. Grande-mode cirque-et-pain et prochain grand narcoproducteur établi. Battra-t-il le chanvre dreamer-$ de Trudeau ? Fermons les ().

Quand « on veut tuer son chien, on l’accuse de rage », tel un ancien dicton. Adapté en matière de politique ou de société, l’intolérant dictateur a plus d’une occasion fait disparaître : citoyen et opposant. De Spartacus à Dieppe cela n’étonne, conjoncture oblige. En outre, voir Ottawa se dévoiler en représailles, en mode de diplomatie contre le Venezuela, l’interrogation est au rouge. Il y a matière pour l’observateur. Car, les déclarations émises à partir d’Ottawa laisseraient à présager, comme la nature des reportages à la succursale de communications d’état que représente la SRC, on eut dit de Caracas une nation en péril sans génie. L’opposition bruyante étant l’indice de la raison. C’est sous cet angle que de l’observatoire j’ai consulté tout de go, un voyageur d’ici se rendant à Caracas pour affaire de graduation de boursiers universitaires étrangers, en médecine. La vie réelle dit autrement que, ce que la caméra d’état veut montrer, démontrer, ici. Un modèle en tête : une rue piétonne loin du Plateau de Ferrandez. Un besoin : l’accessibilité de SAAS Farmacia. Une histoire : 2nd Bienal del Sur à Caracas.

Caracas n’est en effet la connectivité Internet établie telle que la vit une partie du Québec, car l’autre partie, en partie, Louiseville par exemple espère de ces 290M$ injectés par Québec pour 100 000 foyers, après les 100M investit à Saint-Agapit, en 2016, chez les demandeurs de fonds de développement, non chez le consommateur qui restera le Dindon de la farce de l’Internet ralenti par les besoins de mega data centrer en priorité et non en toute équité, sur le dos du payeur de taxes. Bref, Caracas dans la critique de la ministre Freeland ressemble beaucoup plus à ce désert numérique de régions québécoises et ailleurs au Canada. Caracas, en outre, possède plus que le génie de rues piétonnes que rêve Luc Ferrandez, on innove en art, en attraction et en sécurité pour protéger le piéton, servir l’automobiliste enrichir le patrimoine.

Les images de manifestations sont une réalité certes, la propagande anti Venezuela est en réalité, plus forte que celle anti Maduro, car le pays encaisse tout en subissant par anticipation toute forme d’écart potentiel d’un autre régime en pluralité politique. La vie néanmoins n’est pas la misère décrite surtout pour un pays qui éprouve des pertes civiles et matérielles, et le complot de puissances étrangères voulant s’accaparer du pétrole national. Le pétrole de « la diplomatie du pétrole » prônée depuis Chavez. Si le Chili a pu se relever après Pinochet, le Venezuela peut donc garder espoir sur la chute de ses détracteurs avares impatients de récolter.

Le court récit de notre voyageur est convaincant en images.

Bons baisers de Rio !

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