TRUMP TIENT PROMESSE IL SECOUE L’ESTABLISHMENT POLITIQUE

DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini

Entre (). Barack Hussein Obama a-t-il trahi l’Amérique son pays qui l’a porté au pouvoir en invitant les pays tiers à comploter contre le Président Donald J Trump ? Quand il n’a su honorer Minister Farrkhan tandis qu’il fait la promotion de l’islam contre les U.S ?  Fermons les ().

Comprendre la levée de bouclier contre le Président Donald J Trump est simple. Le politicien bien assis depuis des lunes sur un siège de promesses sans obligation de résultat est fini. Il faut faire taire Trump, le faire échouer afin de dire ibidem, semble-t-on vouloir dire sans le dire honnêtement. Si Trump réussit ne serait-ce qu’un semestre, l’establishment politique global mondial perd son pouvoir sur le citoyen docile de la démocratie du vote, puis silence, à la prochaine. Entrepreneur, la voie s’ouvre, Zukerberg lorgne déjà. Je cite Richard Nixon. « Sans risque pas de défaite, mais sans risque pas de victoire ». Que seront donc, triomphes et crises du Président Trump après avoir livré plus que les autres, des promesses électorales primaires ?

Trump tient promesse il secoue l’establishment politique national et global. L’analyse sémantique de mémoire de la présidence Trump parviendra au jour. 1. Quand, pour faire une analogie, il présentera son Dr. Henry Kissinger. Sera-t-il alors pour l’extérieur ou pour l’intérieur et, par voie de conséquence, une école de pensée dégageant l’influence et opérant par ce sens associé. Cette sémantique placée soit à droite à gauche donc en bas ou en haut de Trump, au cerveau, qui étonnera ou prendra l’Amérique à moyen terme. Perdre dans le sens de première puissance, quel est l’indice qui dévoilera, l’Amérique est suspendue à cet instant.

Quand j’étais enfant, le mot « Odéïde » frappait l’imagination haïtienne, pays de ma naissance. Une dame, puis une autre, celle-ci, Bòyine (en phonétique), l’autre, gwo rate ou madan jan, habitant le cartier. La différence entre elles, puis celle-là avec le reste du cartier résidant du fait que Bòyine était une Noire élégante, danseuse moulée sportive avec talon haut, imposante coiffure afro des années soixante, elle voyageait souvent, était d’un commerce d’Odéïde mais d’articles neufs sur demande aussi. C’est ainsi que nos premières valises d’école de primaires en cuire (valises d’avocats d’époque avec le bas en accordéon), la mienne brune celle de mon frère aîné noire, nos bottes renforcées venaient de ces voyages de gwo rate. Ça sentait un neuf qui n’était local pendant longtemps car, il fallait en prendre soin. Ma mère lui commanda une paire de chaussure noire (derby gentlemen) pour la première communion de mon frère aîné qui était déjà au Petit séminaire Saint-Martial tandis que mon frère cadet et moi venions de Au pas au trop au galop, de Gladys Wagner et de sa soeur Mona Guérin. Ces deux dames, Bòyine quitta pour New York et madan jan ne revint plus un jour. C’est ainsi que j’ai connu l’Amérique de Bòyine, de madan jan avec la notion New York un pays immense vint ensuite la notion de Kennedy, vêtement qui amenait ainsi la maladie disait-on de cette Amérique au dollar vert. J’ai ainsi aimé l’Amérique pour ça, par New York. J’ai récemment signé un article (cinéma) illustré avec la photo manipulée de Donald Trump en visite à la Maison Blanche, où j’ai mis des paquets de dollars partout autour du Président assis dans le salon…. C’est ce dont l’Américain attend de Donald J Trump élu président des U.S. Plus d’économie-AVON, rien d’autre que l’argent en main, le dollar revalorisé, un travail stable. La peur viendra en sus, comme avec Nixon, plus tard. Si DT livre ainsi il aura gagné son pari.

Puis, j’ai connu l’Amérique par la voix des autres. Par la voie de l’interdiction du communisme. Ensuite, je vis l’Amérique par le cinéma. Puis dans les rêves, dans mes rêves, ce besoin de partir, de quitter l’île. J’ai alors vu cette Amérique de mes propres yeux. D’abord El Paso Texas, la frontière de Ciudad Juarez puis, la Floride, Miami, jusqu’au moment après avoir survolé New York, l’aéroport JFK la porte d’entrée de mes rêves. Des citoyens du monde qui y viennent. Je n’en croyais mes yeux depuis El Paso jusqu’à JFK. Ce pays allait déjà mal on parlait de faillite, c’est dans ce contexte que j’ai lié connaissance avec Donald Trump pris dans la disgrâce de l’immobilier. La presse locale voulait déjà l’abattre, le chasser des affaires. Il avait pourtant dit qu’il reviendrait plus fort, qu’il sera président, un jour. C’est de cet homme dont je parle. Il y a survécu, est revenu a vécu. A nourri plus que la curiosité, proche, adversaire. Il est aujourd’hui président envers et contre tout tant que contre tous. Le journalisme newyorkais ne l’aime pas plus aujourd’hui. Il leur a imposé le respect, a même évincé cette presse par son télé reality show. Vous croyez évincer cet homme par la vertu de la grosse Merkel, du défaitiste Hollande, du frivole Justin, du communiste Raoul, quand l’hyper réaliste Theresa se bat pour la couronne. Non Mr, non Mme, NY est = à richesse. Je n’y a encore installé mon bureau, je combattrai médiatiquement pour la présidence de Trump l’Américain comme je l’ai fait pour l’arrivée de Barack Obama à la présidence qui nous a lâchés et trahi. On l’a lâché de fait aussi. Je me dois d’accorder la chance au coureur aujourd’hui encore avec Donal J Trump l’Américain.

Un vrai-faux scandale. Ce besoin de redressement constaté durant un long séjour de trois ans et demi (CT, NY, MASS NJ), prend de court tous les pays qui ne savent plus ce que sera le lendemain hormis la Chine de l’excroissance. Le bilatéralisme reprend donc ses règles pour moi à l’Américaine. N’est-ce pas le cas-Trudeau qui refuse d’accueillir plus de réfugiés au Canada. Prudence, dégonflé quand il prétend accueillir les refusés de Trump ? Remontons rapidement à un vrai scandale, l’Affaire Enron et GWB, en 2001. « Montage financier qui a valu des accusations graves contre Kenneth Lay qui mourut peu avant sa sentence en juillet 2006 » selon Wikipédia. Cela a-t-il causé tant de problèmes à Bush dès son arrivée à Washington, baissant en conséquence le niveau de vigilance ? La question est sensible mais soulève autant d’interrogations sur l’administration qui a précédé 2001, laquelle administration dont le grand patron adule les scandales depuis ses aurores politiques. New York a ainsi tant perdu au point de voir ses capacités affaissées qu’elle ne peut plus donner sans en réclamer son dû, pour une affaire idéologique. Équation chinoise du succès : les caisses sont désormais ouvertes au commerce, où le Berlin de VW triche. Scandale !

Multilatéralisme. Si je me réfère à la thèse de Romuald Sciora sur la notion onusienne du multilatéralisme. La diplomatique-globalisée a échoué, elle explose. La Citée de Trump a compris après l’échec de Ki moon. Elle sait que le spectre global est à renégocier à la pièce afin de définir un nouveau leadership pour une autre forme de conseil de sécurité global renouvelé, avec une Amérique dans la dimension de ses ambitions. Je garde à l’esprit les problèmes du passé où Haïti s’était montrée plus altière malgré la problématique. Si l’ère Bush avait laissé croire à un élargissement de la plateforme directionnelle, l’ère Obama a miné les ambitions du Brésil, comme pour le nuc autrefois, Ottawa est tenu en échec aujourd’hui par l’aveu de dépendance, l’Afrique-du-Sud par la corruption de Zuma, l’Euro-ambition par le démantèlement dont une France mal outillée et une Allemagne trop enchainée, une Afrique égarée parmi les grands de ligue majeure. Les Chine et Inde énergivores étant compétitrices et rapprochée, ce qui laisse un espace vital pour une guerre d’influence sournoise mais vorace en ressources. L’Amérique de Trump se refuse de laisser passer cette chance de récupération et, n’a d’autre choix que de bouleverser un monde déjà instable mais en lui offrant sa méthode, sa garantie comme alternative. Nous savons que Trump a déjà fait ce choix de partenaires car tout est soumis à l’influence du coût. Nous savons aussi qu’aucune nation onusienne connue, ne comprend encore ce plan de relève.

Le prisme du pouvoir personnel Eltsine-Poutine / Medvedev est un leurre. Medvedev d’abord doit être un axe essentiel du prisme pour avoir été deux fois premier ministre et président. Remarquons-là la question Gorbatchev bien fermée avant même celle de Chevardnadze. Soit par ce qu’il sait, soit pour ce dont il fait partie depuis l’URSS en passant par la Glasnost pour aboutir à la réfection de la sainte Russie de l’orthodoxe Vladimir Poutine. Le contraire lui aurait valu soit la mort depuis ou un goulag, ou tant soit peu, l’obligation d’écarter Poutine. Eltsine depuis les temps de Bill Clinton a remis la sainte Russie entre les mains de Vladimir Poutine avec les clés d’un pouvoir personnel qui réclamait de l’audace pour ne pas sombrer complètement après la chute du Bloc de l’Est. Le choix opéré, ce pouvoir consacré par Moscou garantissait tellement de choses avec le doigt sur le nuc. Capacité scientifique et matériel inclus. Le Russe voulant rétablir son pouvoir de domination, accepta la fortune personnelle de Poutine et c/o à cette condition de résurgence. À la différence de la Russie qui s’enfonça sous le poids d’une économie ravagée au point de larguer la Havane stratégique, l’après Clinton offrait une Amérique mieux organisée et protégée de cette domination personnelle avec des instruments de contrôle systémique. Les U.S. ont remis ce même pouvoir entre les mains de Donald Trump qui en sacrifice personnel veut sauver cette garantie. Le seul instrument russe dans cette affaire serait le symbole de l’audace. Poutine lui-même doit savoir trembler par la pensée de Donald J Trump.

Où en sommes-nous en fait, l’Amérique par rapport à elle-même d’abord, puis, par rapport au reste du monde ? D’une part les libertés civiles sont à la meilleure garantie sous Trump, même avec une arrogance des années Nixon, mais, il n’y a de ménage qui ne sait soulever de poussière. D’autre part, la peur migre vers l’étranger, le camp adverse, ce malgré le manque d’expérience politique prêté au candidat tandis qu’il est le Président depuis seulement le vingt janvier que la queue de la file des visites se prête au jeu des influences et de l’intelligence des protagonistes qui se la font en termes « d’amis des États-Unis ». Et Pyongyang ! N’était-ce pas là la première promesse de Donald Trump : « make America great again ».

dan@danalbertini.co

 

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