MINARET DE COMPLAISANCE OU SYNAGOGUE DU MALAISE EN HAITI

DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ

Entre (). Oh que BJC est en Haïti et la campagne électorale de sa lady ressemble en tout point à, comme on le dit en yankee, « a pain in the ». Bouffées scandaleuses pathogènes. Dévotion d’aéronef de Lynch en sus, Bill se croirait invisible sur le tarmac ? Résultat. FBI : « Extremely careless ». Oh ne pas payer ce bon gangan qui ne voit à crédit. Fermons les ().

An 2016, le pendule sonne les quatorze coups du mois de Jules César. Un monde insupporte London-May-Johnson. Haïti. De quoi je me mêle ? Cloison fraternelle maculée. Survivance. Sanglants. Malaise de complaisance, même mal, même faute. Et alors, tout le monde n’est coupable comme s’il y avait pour cela des minarets et des synagogues. La chapelle. Non. Elle est en scandales conjugués de prêtres homosexuels-pédophiles. Procès au Vatican. Dr. Momplaisir plaide en exil malgré lui un vaudou-religion qui n’a encore passé de test moral. Rituels douteux dits-de-possédés. Ainsi, le Grand Ati National offre-t-il en garantie, ce citoyen viable qui inspire confiance, à qui l’on peut faire confiance, qu’on ne le sache [Bill n’étant invisible sur le tarmac]. A-t-on vérifié les archives de Montréal ! Savoir si. Car la religiosité à travers le monde présente tant de cas. Pédophilie, abus sexuels, flânent de Cour de justice en. La République a ses varices : traités de prière-métaphysique où justice-politique fait provision. Des us que nous traitions sous la rubrique Saisons de Kabbale en Haïti. Nous ne pouvons ne pas nous épargner du scandale tardif, craignant de scruter avant des choix nationaux Ceci nous oblige à de personnalités car cela ne saurait durer ad vitam aeternam. Histoire, remontons en temps-minaret-édifié, quelle épithète pour l’équinoxe-théoachille ?

Non ce n’est un lapsus, ce citoyen est s’édifié comme tel, forgeant son identité issue de celle du paternel. Il émergea en signature par le Jean-Claudisme. Une suite du procès des timbres qui a fini par provoquer la mort du faussaire Frantz Leroy, post event. Théoachile est né, depuis c’est la gloire. Ensuite la fuite. Le vide. Exilé sans exil. Gageons aujourd’hui. Retour du jet-d’ail, sans maroquin. Ni présidence. Au crépuscule d’une ambition mort-née.

Vaniteux, il ne sait rendre à l’histoire ce que la politique lui a offert par profession-de-foi-babydoc étalée sur plateau-d’or-Moreau-de-Saint-Méry. Menu-spécialisé expertise de bavard, femmes-argent-manoir, clivage stérile de trahison. Théoachille croit faire croire aux Haïtiens qu’il est d’une classe. D. Magloire jure : poursuites pénales contre duvaliermort-et-consorts. Consort aujourd’hui, sa profession de foi le trahit en vain. D‘une part les Ministères de la Justice et des Affaires sociales ne profitent en rien, d’expertises de ce passé qui aurait fait école. Sinon son prêchi-prêcha post-référendaire : « j’ai fait augmenter le salaire des juges ». De classe d’exil quatre-vingt-sizard, théoachille réfugié à Montréal est alors ce simple NASS, après la gifle Balaguer-Manigat. D’autre part, le navet arrive. Son Boléro des saigneurs livrant un zizi-Bois-de-fer. On eut cru à une blague de bidasse après une thèse sur JBA. C’est l’authenticité de ce politico-intellectuel dont la vertu a fini par savourer le Duvaliériste. Expert, pour de petites histoires de lits, de chambres d’hôtel, rimbaud crut salir ainsi la réputation d’une ministre-Lavalasse. Rimbaud mon beau salaud trompa sa femme en réalité.

Hybride du faubourg-Côte-des-neiges par les Brûleries St. Denis où bidasse se fit l’avant-poste, Pégase nargue de là : opposition duvaliériste ; snobe clientèle lavalasse, avoisine  meute d’exilés intellectuels. Petit-maître tint un discours. « Une petite maison à trois-cent milles pour relever l’escampe haïtienne ». De là son sale-piège-de-chasseur-tendu. Une ministre lavalasse de passage qu’il dit avoir mis sur le dos, jambes en l’air, sur un lit de motel. Crise sur la rivière en crue. Qui paya la facture de l’état, de quel montant, là n’en est l’intérêt de la débauche. C’était une victoire de grand factotum politique, revendiquée au standard de sa dénonciation ; le comédien-opposant-Frankétienne régulièrement invité au théâtre du Palais, de son époque. Nous étions deux à en prendre note aux Brûleries pour la chronique Sur les Traces de Duvalier. Je dois avouer que notre objectif principal avait échoué. La requête qui consistait à nous mettre en communication avec son ancien patron JCD n’a pas abouti. Résultat : « ce monsieur, je ne lui parle plus depuis quelques temps ». Dédain qui voulut dire ce vilain qui n’a plus sous ni pouvoir. Étonnant. Platonthéo, puisqu’il faut toujours être quelqu’un d’autre en Haïtiminaret, n’a malgré tout réussi à renverser la vapeur sur la proposition du professeur Manigat. Celui-ci invité pour les vingt-cinq ans de H-O, à l’Hôtel Delta de Montréal. Réhabiliter la compétition politique. Feu président-Manigat proposait de réhabiliter la clientèle politique mais prêchait moins bien que G. lato (Latortue) aussi présent, qui y aboutit en quelque sorte. Ainsi, enchevêtré dans l’opposition oisive à Montréal, Théoachille se fit berner, lui l’intelligent. Un chanteur drogué de la chapelle parvint à la présidence, non avant lui, mais là où le portrait de petit-maître ne serra jamais érigé à moins d’un coup d’état tardif à la manière de. Roger Lafontant-le-thénar. La question se pose désormais : ministre-métis par Duvalier, ministre par compétence ? Oh diplomatie insulaire !

Paon bleu, fanfaron politique ? Théoachille le pleure-échec manigatae, avec fanfan Flambert en RD. Il n’est ici question de savourer une revanche jalouse aux dépens de. Comme il a souvent cru à le reprocher à la critique, par un « j’ai roulé ma bosse… ». Sa défense est un droit légitime. Il est du reste, paré du temple de Thémis. Advocate ad imum. Je ne suis en rien politico et, il l’a toujours su pour le statut du journaliste. Je vois le niveau du politique qui a été grand factotum mis sur orbite par JCD. Cuivre vermoulu de bisbrouille resta indéfiniment de la constellation-Duvalier. Non au niveau perso cet exercice dû aux besoins de l’historicité comme ceux de l’historicisme. Provoquer un repère, rétablir ce portrait. Non pas en procès mais un bon-œil dans les appréciations. Car, l’émergence d’une école nouvelle, la résurgence, ne sont des événements historiques que l’on doive sous-estimer ni négliger. Nous ne savons donc mentir, tenter de descendre ni dépeindre théoachille. C’est aisément ce droit d’utiliser des faits disponibles. En fait, théoachille n’est si différent des autres qui ont suivi sa trace. La complaisance a érigé un minaret pour parler en primitif, comme le malaise en a fait une synagogue pour camoufler la déchéance annoncée du geste. Silence complice dans les deux cas, car tout le monde le sait. Danielle Magloire sait pertinemment où le trouver.

Théoachille clame toujours son innocence dans ces vêpres souvent organisées par son défunt collèguepolitique-ami-compagnon-ministre. Roger « était un violent » vous dira-t-il malgré lui, et rajoute : « nous té tojou di-li késa pwal bali problèm ». Roger en est mort in facto. Mais, simulons théoachille dans ce ministère aux armes du pouvoir de la violence d’état. Cas fictif on s’entend. Le jeune révolutionnaire révolté conduit au ministère de l’Intérieur et de la sécurité, pour une cause de. Pas de théotrace-politique, alors puisons dans son essence.

Théoachille ponte sur un fait vécu, les circonstances font qu’il raconte avoir suivi son fils un jour d’école. T dit-il, pris en flagrant délit de badaudage avec des copains, père, il lui flanqua une raclée en pleine rue (gifles biens appliquées) au point où la police s’y mêla. Force de l’ordre public, le constable intervient pour violence physique sur un jeune. Assurance du juré de Thémis ou, immunité cachée, il tient pour avoir dit aux policiers : « si vous voulez m’arrêter faites-le, mais je préfère que ça soit moi qui lui flanque des gifles au lieu de vous voir lui appliquer des coups de bâtons et ces mêmes gifles, pour délinquance ». Tout cela pourrait en effet paraître légitime, mais ce qu’il eût à dire à T compte et, éclaire. « lè yo pwal wè lapolis arété-wou, yap di sé pitit Théoachille pou yo griyenden sou mwen ». Émotion vive. En outre, ce n’est T l’important. Peur et réputation du capon lui ont valu une raclée. À son crédit dira-t-il aujourd’hui que T se soit repris au point de devenir architecte à New York. Cas différend connu du petit-fils de feu Dr. Roy (le constituant), arrêté à Montréal, du même récit.

Transposons l’Acte-I en politique. Le chef d’état est généralement appelé « bon papa ». Un fils de la nation péchant sur les principes du ministère de la violence d’état autorisée. Que serait alors cet homme-politique qui avocat, n’a su parler autrement à son fils que par la voie de la violence paternelle. Tel Ati-simulation nous éviterait l’intelligence des minarets de la complaisance et ces synagogues du malaise. Théoachille nous pousse ainsi à l’importante interrogation. Qui est alors l’Ati National Coma, seul, dans une simulation-dite d’esprit-de-possession de la jeune fille de quinze ans ? Histoire haïtienne vécue à Montréal vers 1993-95.

Telle âme n’est d’admonester Coma, ni la famille de théoachille (spécialement sa femme), comme une résurgence d’un passé politique calomnieux, fanatisé. Absolument pas ! Elle n’a néanmoins réfuté d’être l’épouse du politique ministre-d’état au gouvernement scandalisé en termes de violations graves de droits de l’homme. Lequel gouvernement jugé de kleptokratic system dans les archives du Congrès américain de ton-Bill. L’histoire réclame donc un regard rétrospectif puisque l’acteur n’a jugé bon de se le créditer. Il s’est pourtant exposé en oralité vulgaire à ce réveil, contre ses dits-adversaires politiques. Des messes-basses par exemple ; rire de (feu) Georges Anglade pris en scandales financiers dans les esclandres du Ministère des Travaux Publiques, pour se justifier. Le Boléro des saigneurs en dit long sur cet échec. Lequel échec dont on ignore des versets de potins croustillants, un déjeuner en compagnie de Nadère, dans un hôtel à Baranquilla « gadé kijen you Blan lèd », pour une histoire de tableaux (peinture) de manmansimone. Ironie, leblanc parla créole pour y répondre : « messieurs, vous êtes haïtiens ah oui. Sèl Ayisyen fèsa, palé mal soumoun ». Théoachille admettra qu’il n’était ici question de vision politique. La sienne si l’on se résume serait en deux chapitres de « Si je suis président ».  Chap.1 – Prendre à sa charge d’éducateur, une horde de jeunes garçons. Les isoler du monde, leur fournir le nécessaire académique et leur procurer encadrement, formation, éducation, noblesse oblige. Changer la mentalité de ce pays par ces nouveaux citoyens. Des moines, mais tendancieux n’est-ce pas ! Chap.2 – Gager des ministres d’état à la tâche, leur procurer un million de dollars en don, en amont, à chacun. Mais gare aux voleurs car le premier serait immédiatement mis aux arrêts et emprisonné. Édit du roi  bon-papa ! J’ose un Chap.3 – Renforcer Plume et Encre en édition nationale officielle. Bravo !

Pourquoi Bravo ? Ici c’est la chronique, bien différente de la romance de Soukar par xantus Leconte, des anciens amours de Gilot par au gré de la mémoire, ou de l’expertise de Dupuy par les grandes dames de la république. Ici nous sommes de préférence dans « devine qui vient dîner », j’y rajoute ce soir parce que l’aiguille républicaine est tardive en termes de prévention tardive. Ton-Bill dine chez nous avec scandales partant de rapports sexuels présidentiels avec une stagiaire à la Maison Blanche, jusqu’à l’inconvenance d’une rencontre avec l’Attorney général sur le tarmac, en pleine confusion sur une enquête en cours, sur le comportement de sa femme Secrétaire d’état-candidate à la présidence. Lui-même un ancien obligé (président) de la discrétion. Résultat. Dixit le FBI : « Extremely careless ». Des Congressman crient à la collusion tandis que le président Barack Hussein Obama trouve « Extremely careless » normal, à titre de commandant en chef pour une Nation qui a connu le 9/11. Corrélation rapprochée avec la métaphysique et la kabbale haïtiennes citées plus haut, raison pour laquelle l’on doive savoir qui est ce Joseph Coma qui vient dîner à titre d’Ati National. C’est souvent par ce biais, celui de nos faiblesses, que la diplomatie-coercitive rentre chez nous. Car, la Commission sénatoriale dit-on se laverait les mains dans la convoitise de l’argent de la compromission et de la collusion. Minaret et synagogue politique.

dan@danalbertini.info

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